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Fatigue, fringales, prise de poids… Et si c’était le prédiabète ?

Sucre et prédiabète

Le prédiabète est un état qui dure plusieurs années, avant que le diabète ne s’installe définitivement. Alors que le diabète est une des principales maladies métaboliques, mieux connaître les premiers signes peut vous permettre de l’éviter. En France, le prédiabète concerne 7.4% de la population, et 3 fois plus d’hommes que de femmes.

La régulation de la glycémie

La glycémie est le taux de sucre dans le sang. Elle est très finement régulée grâce à un système complexe de récepteurs et d’hormones telles que l’insuline, afin de maintenir une quantité d’énergie stable dans le temps. Ce contrôle varie d’un individu à un autre et dépend principalement de la sensibilité à l’insuline, fabriquée par le pancréas en réponse à un taux élevé de sucre dans le sang.

Lorsque l’on a pris un repas, notre organisme le détecte, et le niveau de sucre dans le sang est scruté. Quand il s’élève au-delà d’un certain seuil, le pancréas sécrète de l’insuline pour l’abaisser. Ainsi, il reste stable tout au long de la journée, dans une certaine fourchette de valeurs considérées comme physiologiques :

Glycémie

Lorsque tout va bien, vous ressentez la faim, signe que votre glycémie est diminuée. Si  vous mangez à satiété (pas au-delà) des aliments riches en fibres et en nutriments, ils vont permettre une absorption lente et une hausse modérée des sucres dans le sang, donc une production d’insuline faible et proportionnée.

Les signes d’un prédiabète

Lorsque notre alimentation est trop riche en quantité ou en qualité, que les grignotages sont trop fréquents, en particulier avec des produits sucrés, alors on vient fatiguer puis déréguler ce précieux mécanisme, et notre glycémie fait les montagnes russes.

Les signes sont évidents : vous avez déraisonnablement envie de sucre vers 16 ou 17h ? vous piquez du nez après le repas ? vous vous sentez fatigués après manger ?

Alors vous êtes peut-être prédiabétique !

En effet, quand la régulation se fait mal, l’individu passe en hyperglycémie forte après le repas, ce qui peut se manifester par de la fatigue importante, une certaine irritabilité. Puis, les taux chutent sous la forte production d’insuline, mais le contre-coup fait tomber l’individu en hypoglycémie, ce qui se manifeste par des fringales, une faiblesse et difficulté à réfléchir.

L’instauration du diabète

Par épuisement des cellules du pancréas, et l’encrassement des récepteurs à l’insuline, l’organisme déraille et la situation devient incontrôlée : on parle alors de résistance à l’insuline et d’intolérance au glucose. Le diabète de type 2 s’installe à la suite de cette longue phase de dérèglements.

Ainsi, vous vous retrouvez contraint de surveiller continuellement votre glycémie et de vivre avec une pompe à insuline, pour tenter de la réguler. Les complications du diabète sont nombreuses : risque de cécité, troubles de la circulation affectant les mains et les pieds, risque élevé de maladie cardiovasculaire.

Comment le détecter ?

Analyses

Au-delà des signes cliniques précoces, deux analyses en laboratoire pourront vous éclairer :

  • La glycémie à jeun, elle doit être comprise entre 0.70 et 1.10g/L. Entre 1.10 et 1.25g/L, on parle de prédiabète.
  • L’hémoglobine glyquée HbA1c est le marqueur le plus largement utilisé pour représenter la sensibilité à l’insuline.
  • Un dosage de l’insuline peut également être réalisé, mais plus rarement.

Il faut savoir que les facteurs de risques sont : l’âge, le surpoids, la sédentarité, les antécédents familiaux.

Comment l'éviter ?

Si vous pensez être concerné, nous avons une bonne nouvelle !

Le prédiabète est réversible !

Et même s’il doit sonner comme une alarme, il ne vous engage pas irrémédiablement à développer un diabète de type 2.

Pour espérer pouvoir inverser la tendance, tout d’abord, la prise de mesure hygiéno-diététiques est incontournable : une alimentation équilibrée, une activité physique régulière même de faible intensité, une perte de poids en particulier de la masse grasse abdominale.

Activité physique

À l’heure où les traitements à base de GLP-1 comme Ozempic ou Wegovy promettent monts et merveilles — perte de poids rapide, amélioration du syndrome métabolique — les premières critiques émergent.
Effets secondaires parfois lourds, coût élevé : ces solutions ne sont pas sans zones d’ombre.

Alors que la nature propose des alternatives, des compléments alimentaires peuvent aider sur le chemin d’une meilleure régulation de la glycémie et d’une hygiène de vie plus saine. En particulier, le Moringa, plante aux grandes richesses phyto-médicinales utilisée en médecine ayurvédique a été largement étudié pour sa capacité à réguler la glycémie chez des personnes prédiabétiques.

Dans notre formule Moringa, il est accompagné de Fenugrec, et de chrome, qui permettront de favoriser une meilleure sensibilité à l’insuline. Le chrome en particulier a démontré des effets favorisant la perte de poids, et directement visibles sur les taux d’hémoglobine glyquée chez des prédiabétiques.

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